◄ Autres villes

Le site des sorties entre amis et rencontres amicales dans ta ville.
         
Vacances inter OVS ►
Grâce à ton aide, le site restera sympathique comme tu l'aimes !

Quel problème veux-tu soumettre à la communauté ?

Photo



Descriptif du profil



Miguelito  

Clique pour agrandir


» Voir ses dernières sorties en photo «

Couleur de personnalité

Mon humeur du moment en vidéo :)
Date d'inscription
09 Juillet 2015

Dernière connexion
27 Mars 2024 - 11h25

Ses sorties favorites
 
 
 
 
 
 

Fiabilité
1 7 0 0
  100%
Infos perso
Classements
Prénom : Michel
Sexe : Homme
Situation : Célibataire, sans enfant
Date de naissance : 26 Fév 1944 (80 ans)
Localisation : St-Barthélemy-d´Anjou

Y a pas plus ouverts !n°95 (new)
Les + populaires !n°133 (+1)
Eux= toujours partantsn°144 (+1)
Son petit mot

J'aime parfois être seul,

Mais j'aime aussi la vie

En belle compagnie,

Le ciné, les randos,

Le vélo, les restos, 

Tout ce qui réunit.

 

Avance sur ta route, car elle n'existe que par ta marche. (Saint Augustin)  

 

Ce qui sauve, c'est de faire un pas. Encore un pas. C'est toujours le même pas que l'on recommence.(Antoine de Saint-Exupéry)

 

Le plus fort des noeuds, c'est un amarrage

fait sans épissoir, goudron ni filin.

Ce noeud-là s'appelle:"courage"

C'est Dieu qui le fit au coeur du marin. (Dicton de la voile)

 

L’homme et la mer (Charles Baudelaire)

Homme libre, toujours tu chériras la mer !

La mer est ton miroir ; tu contemples ton âme

Dans le déroulement infini de sa lame,

Et ton esprit n’est pas un gouffre moins amer.

 

Tu te plais à plonger au sein de ton image ;

Tu l’embrasses des yeux et des bras, et ton coeur

Se distrait quelquefois de sa propre rumeur

Au bruit de cette plainte indomptable et sauvage.

 

Vous êtes tous les deux ténébreux et discrets :

Homme, nul n’a sondé le fond de tes abîmes ;

Ô mer, nul ne connaît tes richesses intimes,

Tant vous êtes jaloux de garder vos secrets !

 

Et cependant voilà des siècles innombrables

Que vous vous combattez sans pitié ni remord,

Tellement vous aimez le carnage et la mort,

Ô lutteurs éternels, ô frères implacables !

 

Le vase brisé (René-François Sully Prudhomme)

Le vase où meurt cette verveine
D'un coup d'éventail fut fêlé ;
Le coup dut effleurer à peine :
Aucun bruit ne l'a révélé.

Mais la légère meurtrissure,
Mordant le cristal chaque jour,
D'une marche invisible et sûre
En a fait lentement le tour.


Son eau fraîche a fui goutte à goutte,
Le suc des fleurs s'est épuisé ;
Personne encore ne s'en doute ;
N'y touchez pas, il est brisé.

Souvent aussi la main qu'on aime,
Effleurant le coeur, le meurtrit ;
Puis le coeur se fend de lui-même,
La fleur de son amour périt ;

 

Toujours intact aux yeux du monde,
Il sent croître et pleurer tout bas
Sa blessure fine et profonde ;
Il est brisé, n'y touchez pas.

 

Harmonie du soir (Charles Baudelaire)

Voici venir les temps où vibrant sur sa tige

Chaque fleur s'évapore ainsi qu'un encensoir;

Les sons et les parfums tournent dans l'air du soir,

Valse mélancolique et langoureux vertige !

 

Chaque fleur s'évapore ainsi qu'un encensoir;

Le violon frémit comme un coeur qu'on afflige;

Valse mélancolique et langoureux vertige;

Le ciel est triste et beau comme un grand reposoir.

 

Le violon frémit comme un coeur qu'on afflige,

Un coeur tendre, qui hait le néant vaste et noir !

Le ciel est triste et beau comme un grand reposoir,

Le soleil s'est noyé dans son sang qui se fige.

 

Un coeur tendre, qui hait le néant vaste et noir,

Du passé lumineux recueille tout vestige !

Le soleil s'est noyé dans son sang qui se fige,

Ton souvenir en moi luit comme un ostensoir!

 

Demain, dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne;

Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m'attends.

J'irai par la forêt, j'irai par la montagne.

Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps.

 

Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées,

Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit,

Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées,

Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit.

 

Je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe,

Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur,

Et, quand j'arriverai, je mettrai sur ta tombe

Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur.

Victor Hugo 3 septembre 1847.

 

 

    Pour :
  • Lui envoyer un message privé
  • Voir la liste de ses futures sorties
  • Savoir si tu l'as déjà croisé lors d'une sortie

  • Connecte-toi !

    » Je m'inscris «

    Fb Connect

« Voir les autres
Viens discuter sur le forum
Pros : créez & placez votre annonce ici »